N'ayant absolument pas planifié cet évènement et se qui allait se passer dans l'après-midi, je peux jurer que jamais j'aurais pensé en arriver là. Enfin pas aussi rapidement, pas comme ça, bref pas cette fin d'après-midi pensée durant la mâtiné. Qu'il y ait d'autres humains dans la maison ? Je m'en contre fiche totalement, de toute manière aucune n'ayant la possibilité de savoir que c'est lui qui se trouve dans ma chambre, ayant été seul dans le couloir. Et puis sincèrement, pour le moment je m'en contre fou.

Savourant le contact de ses mains et ses lèvres, je le sens descendre mon boxer alors que d'un léger mouvement de jambes je m'en débarrasse totalement, tous comme le sien. Je grogne légèrement de plaisir le sentant se remettre à me masturber, resserrant mes doigts autour de son sexe gonflé par le plaisir et l'envie, je continue ainsi ma gorge s’asséchant drôlement par le plaisir et cette envie ardente. Le sentant se décaler légèrement je le laisse faire avant de comprendre se qu'il fait. Well, je vais pas dire non à tant de rapidité. Ma main de libre glissant sur ses fesses, mes doigts longent cette partie là le pénétrant sans peine. Ok définitivement pas sa première fois avec un homme, dans un sens je m'en réjouis n'étant pas forcément dans la patience d'être doux et gentil. Ma droite continuant de s'occuper de son sexe, je soupire d'aise en sentant ses lèvres dans mon cou bien que je finisse par laisser son fessier tranquille, avec ma main, décidant de mettre fins à ses préliminaires expresses. Lâchant sa queue pour attraper sa jambes et la bouger pour plus de faciliter mes lèvres se posent sur son épaules, glissant sur sa peau, alors que je pénètre en lui, ne rentant pas le moins du monde en grognement de satisfaction. Niveau protection ? Ayant jeter un regard sur son dossier médical avant de "l'acheter" j'ai nullement à craindre la dessus, après on pourrait se dire que en tant que propriétaire je puisse me filer de refiler à un Humain une quelconque saloperie mais de toute manière, étant clean sur ce sujet, je prend donc pas la peine de chercher un préservatif, il allant aussi bien à sec ayant trop envie de le sentir, réellement.

Le tournant sur le ventre, je commence à bouger contre lui, mes doigts glissant sur ses cuisses et remontant le long de ses hanches plus de ses flans,caressant sa peau avec délice. Accélérant la cadence, je donne des coups plus fort, ma respiration s'intensifiant alors que je vais plus profond en lui, ses gémissements me plaisant étonnamment beaucoup. Le sentant se contracter par moment, intensifiant ainsi le plaisir de le pénétrer, mes doigts se crispent sur sa peau. Une de mes mains venant se caler sur ses hanches pour le tenir et ainsi être plus à l'aise dans mes mouvements contre lui, je ne retiens pas non plus mes exclamations de plaisir. Continuant ainsi de percuter son corps avec force alors que je le sens tout autant prendre son pied que moi. L'idée même que maintenant il soit sous mon toit, qu'il soit ma propriété, mon Humain, à mes ordres ne faisant que s'ajouter au plaisir sexuel, je continue ainsi de m'enfoncer en lui avec une régularité vive. Mes muscles se tendant par l'effort, je l'entend à sa voix et le sent jouir alors que ma main qui ne tient pas ses hanches glissent entre le lit et son torse caressant sa peau en continuant mes va et vients sentant l'étroitesse de son postérieur venir bientôt à bout de mon plaisir. Dans un râle de plaisir, je finis par me vider de ce plaisir, restant en lui alors que je continue un instant de bouger ralentissant la cadence alors que je termine de jouir, expirant lentement alors que ma respiration se voit totalement brisé par l'effort et le plaisir.

Restant un instant contre lui, je me retire de son antre, me laissant tomber sur le côté e soufflant un coup face à cette partie de jambe en l'air que j'avais clairement pas prévu au programme. Fermant un instant les yeux je me passe une main sur le visage, en âge par cet effort physique fort plaisant, laissant Noah reprendre son souffle alors que je reprend le mien.

Restant allongé ayant peu à peu reprit mon souffle, je le vois du coin de l'oeil se relever alors que je tourne le regard vers lui. Le silence étant revenu dans la chambre je reste allongé, relevant et pliant une jambe en posant mon pied sur le matelas, mon corps se détendant après l'effort, même si dans un sens je dirais pas non pour un deuxième round. Mon sexe de nouveau au repos éloigné de toute proximité à lui faire envie, je laisse mon regard trainer sur son corps observant son dos en voyant quelques traces sur sa peau. Traces qui sur le coup me font froncé un sourcils. Dompteur ? Surement pas, certes on a pour ordre de ne pas trop frapper un Humain à des endroits visibles, mais pas à ce point. Même dans mes moment de violences, je laisse pas des marques si profondes. Qu'est-se qui t'es arrivé ? Je demande d'une voix blanches d'émotions alors que je reste allongé, fixant les marques alors que mon index vient en frôler certaines avec curiosité.

Me fichant totalement du détail sur le fait de changer les draps, ou même qu'un Humain ait entendu nos ébats, je ne suis pas du genre à m'en inquiéter étant celui qui dirige cette maison, je n'ai donc aucun compte à rendre à personne. Je passe une main dans mes cheveux coupé court, me redressant en m'accoudant juste sur un bras attendant sa réponse, mes pensées flottant sur les cicatrices de son dos, et nullement sur se qui vient de se passer et qui va sérieusement changé sans doute ma vision de mon achat de Noah.

Observant les marques strillant son dos de part et d'autre, je le vois se tendre un instant avant de me jeter un regard. Sujet sensible ? Cependant fidèle à son rôle je le vois contraint de me répondre, alors qu'il se retourne cependant et que moi je repose le regard sur les vestiges de je ne sais trop quoi. C'est.. c'est la première personne qui m'a acheter.. qui m'a fait ça, si je n'obéissais pas, que ce que je faisais n'était pas à son goût.. L'écoutant assez perplexe je constate que sérieusement... on ne peut décidément pas me donner la palme du pire tyran. Pas avec mes Humains du moins. Observant les cicatrices avec intérêt, je reste silencieux un temps. Avec quoi elles ont été faites ? Je me redresse alors pour les regarder avec plus d'intérêt. Est-se un intérêt limite sadique face à se qu'un autre peu faire endurer comme souffrance ? Où juste l'envie de savoir comment a-t-on pu lui infliger ça , à lui ? J'en sais rien mais ma main le fait lentement tourner pour que son dos soit à la lumière de la fenêtre, alors que mon regard monte vers ses épaules et que je le fais tourner face à moi, notant l'absence de marque sur le reste de son corps et surtout sur le devant. Cette personne savait se qu'elle faisait... et savait qu'elle te garderais pas indéfiniment. J'attends même pas de réponse à cette phrase, parlant plus pour moi même alors, observant son ventre et ses cuisses. Alors que j'attends toujours la réponse à ma première question. Sérieusement, parler avec du sexe aussi chaud ? Une première, mais faut dire que c'est aussi la première fois que je le rencontre "en détail" et que maintenant il va vivre ici... et puis...il a cette façon de m'obséder et de me pousser à poser des question, voulant en savoir plus sur lui.

Réellement concentré sur les marques qui me fascine étrangement, je reste silencieux ne remarquant pas sont trouble. Se qui de toute manière me serait totalement égal non ? Après tous j'ai le droit de le regarder non ? Ces deux objets préférés c'était.. le fouet et une canne.. sinon ce qui lui tombait sous la main... L'écoutant parlant je ne me rend absolument pas compte que cette "fascination" vient de l'impression de contempler étant plus jeune les cicatrices "temporaires" que les ceintures ou les mains de mon paternel laissaient sur mon dos. Ces souvenirs tellement enfouie, que la cause disparait, seule la fascination restant. Mes doigts frôlant ses cuisses cette fois-ci sans pensées sexuelles je reste silencieux. Il me trouvait trop vieux à la fin c'est pour ça qu'il ne m'a pas garder... Sa voix revenant briser le silence sans que j'ai attendu de réponse, je finis par sortir de mes pensées remarquant son regard alors que je le lâche arrêtant cette observation sans même plus y faire attention. Gardant des autres question pour moi, je finis par me lever récupérant mon boxer sur le sol et l'enfilant avant de prendre mon pantalon et en faire de même. Je te conseil de faire profil bas avec les autres d'ici pour le moment. T'es le dernier arrivé, ils sauront te le faire remarquer... Je laisse les gens faire se qu'ils veulent de leur temps "libre", si vous avez rien à faire dans les taches assigné, chacun peut sortir, mais je tolère plus personne debout à déambuler dans la maison après deux heure. Je reprend en lui expliquant un peu plus en détail le fonctionnement de la maison. Et une autre règles.. ici je veux pas de ragots. tu vois quelque choses dans un pièce, tu ne le propages pas, les conversations que tu surprends entres des citoyens ou entre moi et un autre Humain, tu les oublies... Et se qui se passe dans ce lit, ne regarde pas tes autres compères, ils sauront insinuer des choses, mais rien dire de plus. Lorolaï y veillera. Compris ? Attrapant son jean et on caleçon je lui ramène sur le lit.

L'observant se rhabiller je ne dis rien d'autre redevenant froidement indifférent comme mon habitude. Il finit par se lever et je ne le retiens pas n'ayant pas besoin de lui alors que je l'observe quitter la pièce terminant de boutonner mon cardigan alors que j'ouvre la fenêtre observant le jardin en silence.Un bruit me dérangeant légèrement, je vois du coin de l’œil Lorolaï de faire les draps en silence et le visage impassible alors que je finis par me tourner vers elle, l'observant en silence travailler aussi "invisible" qu'elle à su l'être depuis toutes ces années. Vous savez se que vous faites ? ... Sa voix prudente restant à sa place je l'observe simplement comme la vieille femme qu'elle est, un soupire échappant de mes lèvres. Gardes un oeil sur lui... y'en a certains qui se priveront pas de remarquer se qui s'est passé ici. Je me contente de répondre cela alors qu'elle termine de virer les draps sale, en installant de nouveau. Cela se reproduira-t-il monsieur ? Je lui lance un simple regard enfilant des chaussures alors qu'elle soupire comme la vieille dame qu'elle est et qui me connait assez pour savoir interpréter mes silences. Dois-je le souscrire au travail ? Je fronce les sourcils en me redressant prenant ma veste. Bien sur que non, aucun traitement de faveur la dessus. S'il y a besoin de main supplémentaire n'hésites pas, il est là pour ça... entre autre. Je soupire devant son air contradictoire. Oui, je sais qu'il n'est justement pas "là" pour ça, pas acheter pour ça, acheté pour rien,par simple besoin de... de le posséder. Que personne d'autre n'ait le droit de décider pour lui, que personne d'autre ne puisse le toucher. L'avoir. C'est qu'un Humain, traitez les tous comme tel. Je réplique avant de sortir.